MARCO MENDOZA + 1ère partie IN VOLT

Marco Mendoza, l’un des monstres sacrés de la basse, musicien attitré de quelques uns des groupes légendaires du rock (Ted Nugent, Thin Lizzy, Whitesnake…). Également bassiste ces dernières années de “The Dead Daisies”, l’un des combos rock les plus efficaces du moment, Marco se produit depuis quelques mois sous son nom et fait la promotion de son nouvel album intitulé “Viva La Rock”. Groove implacable, technique irréprochable, énergie communicative, feeling rock brut, Marco enchante le public partout où il se produit… Marco vient d’un milieu musical imprégné de son héritage mexicain. Dès son plus jeune âge, à Tijuana, au Mexique, sa grand-mère l’a guidé au piano avant qu’il ne se mette à jouer de la guitare. Très jeune il rejoint des groupes locaux de la scène de Los Angeles, et ce n’est qu’en 1989 qu’il commence à percer lorsque l’ancien batteur de Black Sabbath, Bill Ward, le recrute au sein de son groupe solo. Cela lui traça son chemin et lui permit de jouer avec une pléiade d’artistes, dont certains des plus grands groupes et musiciens du monde rock, notamment John Sykes Blue Murder, Thin Lizzy, Ted Nugent et Whitesnake, pour n’en nommer que quelques-uns. En raison de ses talents accomplis et très recherchés de bassiste et chanteur, il a également joué en tant que “guest” et musicien de session avec des artistes comme Tommy Shaw (Styx), David Coverdale (Whitesnake), Dolores O’Riordan (Cranberries) et Neal Schon (Journey), parmi bien d’autres. IN VOLT Pourquoi épiloguer sans fin, discourir d’une langue bavarde, analyser à outrance les joutes verbales et les riffs affûtés d’In Volt? Ce groupe transpire le ROCK, point, à la ligne: pas la peine de souligner au trait gras, car il sue le blues dont sont issus les combos anglais et américains qui ont illuminé l’horizon des seventies. In Volt, c’est du courant électrique et de la voltige sous un soleil de plomb ou une nuit d’orage, qu’importe! ça sonne charnel, avec un goût épicé.

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