- Report : Compte tenu de la situation sanitaire actuelle, le concert de Royal Republic prévu le 16 octobre 2021 est reporté au samedi 28 janvier 2023. Les billets pour la date du 16 octobre 2021 sont valables pour la nouvelle date du 28 janvier 2023. Vous ne pouvez pas vous rendre à la nouvelle date ? Vous pouvez demander le remboursement de vos billets jusqu’au 30 septembre 2021. ****************************************************************************************************************************************************************************************************** - Présentation: « ROYAL REPUBLIC représente de nombreuses choses. Le plus grand maître Suédois d’un rock plus qu’addictif. Des musiciens formés avec un instinct de tueurs pour déceler les accroches efficaces. De voraces « nerds » aux appétits variés allant de la pop au garage rock, tout en passant du Heavy metal à l’Americana sans pour autant oublier le hip-hop (et à peu près tout ce qui se trouve entre cela). Mais ROYAL REPUBLIC se compose aussi d’hédonistes enjoués qui n’hésitent jamais à faire de parfaites harmonies vocales à quatre voix sur scène, tous les soirs. Le groupe de rock le plus éclectique au monde ? Très probablement. Depuis sa rencontre à la Malmö Academy Of Music en 2007 – avant de faire ses premiers pas au sein de la scène internationale avec des singles à succès comme « Tommy-Gun » et « Full Steam Spacemachine » – ROYAL REPUBLIC cultive un esprit « Tout va ! » qui va à l’encontre des labels du genre. Pas de frontières, pas de limites. Ils vous donneront une sonorité disco-sucrée une minute puis vous déchireront le visage avec un thrash contondant quelques secondes après. En backstage, leurs DJ sets collectifs mélangent les Beatles, Cannibal Corpse, Steely Dan ainsi que les Backstreet Boys, et tout cela sans sourciller. Si le guitariste Hannes Irengårdis est aux commandes, vous profiterez de Bob Dylan et Eminem. Mais si c’est le bassiste Jonas Alménis qui est aux platines, comptez plutôt sur du Motörhead ! C’est exactement le genre de groupe qu’est ROYAL REPUBLIC. « D’une certaine manière, cela a toujours été plus ou moins la devise », explique le chanteur / guitariste Adam Grahn. « Mais nous changeons également celle-ci à chaque album. Elle change toujours. Je pense que cela pourrait être le cœur de notre processus. » Après avoir troqué leurs vies de professeur de musique, de musicien de session ou encore de musicien au sein d’un orchestre symphonique (comme ce fut le cas pour le batteur Per Andreasson) pour le rock‘n’roll, ROYAL REPUBLIC s’est fait les dents à bord d’un vieux van, parcourant alors la Suède et jouant absolument partout : des cabines de ski aux MJC vides sans oublier les cérémonies de remises de prix aux côtés de leurs pairs tels que Biffy Clyro. Tout cela ayant culminé avec les débuts de « We Are The Royal » (sorti en 2010), l’attention favorable des charts et de MTV. Depuis le début, ROYAL REPUBLIC fonctionne à plein régime. Comme le savent tous ceux qui les ont vus en live, aucun des membres n’est mis en avant au détriment des autres dans ROYAL REPUBLIC. Grahn est peut-être le frontman qui chante et fait virevolter la moustache, mais le charisme et l’inépuisable énergie les concernent tous. « Le groupe ne s’est jamais présenté comme virtuose », explique-t-il. « C’est plus comme faire partie d’une machine. La somme est supérieure à ses membres. » « Save The Nation », sorti en 2012, était un changement de rythme relativement maussade et grungy mais redoutable pour les charts. C’était aussi le lieu de naissance improbable d’un chef d’œuvre acoustique, immortalisé sur « Royal Republic & The Nosebreakers » , un opéra impeccable et harmonisé dont The Four Tenors et Monty Python seraient fiers. « Je détestais faire des performances acoustiques de la façon dont je vois beaucoup de groupes de rock les faire », explique Adam, « C’est comme ‘OK, vous dénudez les guitares, les cymbales et les réglages qui envoient du lourd et vous vous retrouvez avec cette gratte lente et sans âme’ et ça, ça m’a vraiment dérangé. » Cette nouvelle version acoustique d’ « Addictiv » a touché le public et ils le jouent toujours depuis. « Mais ça va ! » rayonne Grahn. « J’adore rendre les gens heureux. C’est la meilleure chose que je connaisse. C’est pourquoi « Underwear » (2010) est toujours dans la setlist. Putain, je déteste Underwear… ». Le vrai changement, cependant, est survenu en 2016 avec l’arrivée du troisième album du groupe « Weekend-Man ». Soudain, vêtus de costumes ils embrassaient alors leur mélange varié d’influences sans pour autant essayer de plaire aux puristes. Des hits percutants, plein de charisme, comme « Walk », « When I See You Dance With Another » ou encore « Baby » prennent vie. La tournée qui s’en est d’ailleurs suivi fut une affaire « vertigineuse et floue » ; ponctuées de shows joués à guichets fermés, synonymes de soirées tardives et excès de bonne humeur. « Club Majesty », sorti en 2019, se construit peu à peu sur ces fondations tout en ajoutant une pointe disco-rock étincelante aux vestes scintillantes – donnant naissances à de glorieux titres tels que « Fireman & Dancer », « Anna-Leigh » ainsi que « Boomerang » à leur cocktail musical. Metalheads et amateurs de pop se sont alors réjouis de la série incendiaire de shows qui ont d’ailleurs culminé jusqu’à 6 000 personnes à la Sporthalle Arena d’Hambourg. C’était Rock’N’Roll sur le Red Carpet mais aussi sur le Dance Floor. « Nous jouons pour la piste de danse », admet Adam, « Nous jouons pour les gens qui dansent. Nous avons toujours eu ce groove-là. » Et pas seulement du groove. Quel que soit l’enregistrement, quand il s’agit d’écrire des chansons, ROYAL REPUBLIC se soucie des petits détails. Les angles aiguisés, les subtiles touches de douceur et les éclaboussures de poussières de fée qui transforment les bonnes chansons en grandes chansons. C’est une sonorité sans effort, née sur la base de normes toujours plus exigeantes. Le single « Fireman & Dancer » de Club Masjesty – pour lequel un total de 53 démo-versions furent créées – en est un très bon exemple. « Je suis tellement content que nous n’ayons pas laissé celui-là partir trop tôt », soupire Adam. « J’ai pleuré quand il est sorti. C’était comme recevoir un million de dollars. Je ne sais pas si c’est de la poésie à quelque niveau que ce soit, mais l’énergie était là, les bonnes vibrations et le solo de saxophone ! ». Pour vraiment comprendre ROYAL REPUBLIC, il est utile de revenir à leurs racines. Tous ont grandi dans des foyers de fans de musique hardcore, entourés de collections de disques éclectiques. Les parents de Grahn étaient des musiciens – avec des goûts allant de la soul classique aux Beatles sans oublier Tom Petty – et son enfance a été rythmée par des week-ends passés à regarder leurs concerts. Mais ce sont deux concerts de Metallica, à la télé, qui ont tout changé. « C’était juste tellement… » [il cherche les mots], « c’est ce qui me manquait à l’époque, c’était tellement confiant. Je regardais ces gars se promener en crachant, en criant et en hurlant et c’était juste « wow ». J’avais toujours écouté de la musique et entendu de la musique et joué de la musique, mais ce à quoi vous ressemblez quand vous la faites… Je n’avais jamais vraiment vu cela auparavant. » S’il y a une chose dont les shows de ROYAL REPUBLIC ne manquent pas, c’est la confiance. Et même dans les moments les plus scintillants et brillants, cette énergie brute et redoutable ressort toujours dans tout ce qu’ils font. C’est cette combinaison de rock parfait, de techniques perfectionnées et de fun qui en fait l’un des groupes de Rock’N’Roll à ne pas manquer ! Qui que vous soyez, quelques soient vos goûts, ROYAL REPUBLIC vous accueille à bras ouverts. Et, quoi qu’ils fassent ensuite, vous pouvez parier que ce sera un sacré voyage… »